Lors de la première lecture, M. Borloo nous avait assuré qu'il avait besoin du soutien le plus large du Parlement pour défendre certaines avancées lors des grands rendez-vous internationaux. C'est ce que nous essayons de faire par cet amendement, et je n'imagine pas un sénateur s'y opposer. Le Président de la République lui-même a dit récemment combien ces questions étaient importantes à ses yeux.