a indiqué qu'il n'était pas convaincu par les arguments du rapporteur, pour trois raisons. Tout d'abord, il a estimé que, dans la mesure où le vote des résolutions sera encadré par le règlement de chaque assemblée, le risque de vote de résolutions intempestives est exclu. Ensuite, il a indiqué qu'il avait trouvé extrêmement frustrant, sur la question de l'ouverture de négociations d'adhésion à l'Union européenne de la Turquie, que le Parlement ne puisse s'exprimer sur un sujet aussi essentiel. Enfin, il a estimé qu'il y avait un paradoxe à permettre le vote de résolutions sur les projets de textes européens mais pas sur les sujets nationaux qui intéressent au premier chef la souveraineté nationale.