Autrement dit, même lorsque ce n'est pas à travers la procédure du temps global, on veut limiter la prise de parole. Le Parlement n'est-il pas par essence un lieu de parole ? Je comprends mal ce désir obsessionnel de la restreindre.
Par ailleurs, je ne vois pas en quoi la formule que vous proposez contribue à donner des « droits spécifiques » à l'opposition puisque, avec deux orateurs sur quatre, elle est à égalité ave la majorité.