a souligné que la réforme constitutionnelle relative à la parité avait permis que de nombreuses femmes soient représentées dans les instances politiques. Il faut garder cette nécessité à l'esprit d'autant que le risque de retour en arrière demeure comme on l'a vu à l'occasion de la réforme du mode d'élection des sénateurs en 2003. La normalité d'aujourd'hui résulte de combats d'hier et il y a toujours le risque que des femmes compétentes ne puissent trouver leur place.