Quoique je n'aie participé qu'à une seule réunion de la CEPC, que je viens de rejoindre, je ferai trois réflexions.
Premièrement, on ne pourra évaluer correctement la loi de modernisation de l'économie que si l'on prend en compte l'impact de la crise financière sur les pratiques commerciales et les tensions qui en découlent.
Deuxièmement, il convient d'examiner les relations interentreprises également au regard de la norme européenne, source de nombreuses contraintes.
Troisièmement, il faudrait consacrer une séance particulière de notre commission au débat entre transparence et secret, indépendamment des tensions et des pressions ponctuelles, afin de définir une sorte de « code éthique » de la CEPC en la matière.