La réhabilitation de la basilique de Boulogne-sur-mer a été intégrée au plan de relance mais a vu au passage l'enveloppe de droit commun de l'État – via les crédits de la DRAC – diminuer ! Je m'interroge donc : tout cela n'est-il qu'un jeu d'étiquettes, qui permet de réduire le pourcentage de financement ?
S'agissant du FCTVA, vous conviendrez que l'effort consenti par les villes où seulement 45 % de la population est redevable de l'impôt est plus important qu'ailleurs, d'autant que ce sont ces mêmes villes qui ont intérêt à soutenir leur industrie.
La deuxième phase du plan de relance devrait donner lieu à davantage de concertation avec les élus locaux, afin de ne pas exhumer, pour obtenir un financement « relance », des projets qui ne sont plus d'actualité.