En posant la question de la relation entre niveau de participation et influence, et en reprenant l'exemple de Renault que j'avais cité, M. Gaubert a fort bien exprimé ma propre préoccupation en la matière.
Selon la commission Roulet, EDF devait se repositionner sur la plateforme continentale européenne et abandonner ses aventures transcontinentales, à l'exception notable de la Chine et de l'Afrique du Sud. Or EDF est bel et bien partie à l'assaut d'une entreprise britannique voire à la conquête du Far West. Pour quelle raison ?
Enfin, la loi prévoyant que l'État doit conserver 70 % du capital d'EDF, la vente de parts supplémentaires – sa participation s'élevant aujourd'hui à 83 % ou 84 % – est-elle envisagée ?