Je me range aux deux rectifications qui ont été suggérées. M. de Courson a raison : nous aurions effectivement chagrin à déposer le même amendement l'année prochaine si d'autres Français sont « nobélisés » – acceptons-en l'augure ! – et mieux vaut donc rendre cette disposition permanente.
Je remercie aussi le Gouvernement, ainsi que M. le rapporteur général, d'avoir relevé que la Banque de Suède était par trop mise à l'honneur dans la rédaction initiale de l'amendement.
La suggestion de M. le président de la commission des finances est excellente : profitons de la navette pour préciser les choses, afin d'éviter – comme le faisait remarquer notre collègue Michel Sapin – qu'un prix d'excellence en sixième n'entre abusivement dans cette liste ! (Sourires)