Le sous-titrage à destination des sourds et malentendants est prévu par la loi de 2005, et d'ores et déjà inscrit dans le contrat d'objectifs et de moyens. C'est en train de se faire, on le voit bien. Mais il serait dangereux d'imputer brutalement ces coûts sur le budget dédié à la production et à la création dans des accords interprofessionnels négociés pendant de longs mois par MM. Kessler et Richard. Ce budget s'en trouverait amputé, alors que le sous-titrage est prévu par ailleurs.
L'avis du Gouvernement est donc défavorable.