Ce n'est pas de la provocation, mais un simple constat !
Je voudrais, d'autre part, dire à notre collègue Michel Herbillon que nous ne saurions évidemment qu'approuver ses propos sur l'accessibilité des programmes aux personnes malvoyantes. Votre serviteur a, en 1977, été le premier à offrir une fenêtre en langue des signes dans une émission généraliste ; il n'y avait jusque là que des émissions spécialement dédiées aux personnes handicapées, ce qui ne faisait que les cantonner encore un plus dans un ghetto.
Sur la question des producteurs et des réalisateurs, je crois, en revanche, qu'il y a un problème : vous vous félicitez, madame la ministre, de cet accord passé avec une partie des producteurs et des réalisateurs…