Que nos activités requièrent de la transparence, rien de plus normal et c'est dans ce sens qu'il faut aller.
J'en reviens à mon cas personnel : depuis que le président Migaud préside la commission des finances, nous travaillons sans cesse. Les auditions se multiplient et, avec la crise financière, il y a de quoi faire !
Si j'ajoute à la liste de mes fonctions la participation à la mission interministérielle de lutte contre les sectes, au conseil d'administration de LCP, à l'observatoire des cartes bancaires, aux groupes d'amitié, aux groupes d'études, aux colloques – auxquels nous tous ici prenons part, parce que nous avons besoin d'exprimer nos points de vue mais également d'écouter l'avis des autres –, la liste de mes activités est longue.
Je voudrais citer aussi l'exemple – et j'en parle d'autant plus librement qu'il n'est pas assis sur ces bancs ce soir – d'un collègue remarquable, bien que ne n'aie pas son autorisation pour ce faire et j'espère qu'il ne m'en voudra pas. Je veux parler de Claude Birraux, président de l'office parlementaire des choix scientifiques et technologiques, qui passe le plus clair de son temps à organiser des auditions et des colloques : un vrai travail de bénédictin !