Il a été interpellé, dans cette même interview, sur sa volonté d'appliquer aux radios comme aux télévisions la répartition des trois tiers du temps de parole. Comment ne pas être surpris qu'il se soit également condamné au silence sur ce qui est un autre déni de démocratie, à savoir que le temps de parole du Président de la République, aussi prolixe aujourd'hui, ne soit pas comptabilisé avec celui de la majorité ?