Je vous remercie, monsieur le ministre, pour vos propos.
Je ne voudrais pas que vous considériez que nos propositions relèvent de la surenchère, ou bien que le Gouvernement est dans la situation de faire des concessions.
Nous cherchons, les uns et les autres, à ce que cela marche, afin que nous puissions soutenir l'investissement.
Si la commission des finances a pu apporter une certaine valeur ajoutée à la discussion qui a eu lieu entre le Gouvernement et les associations d'élus, c'est peut-être parce que nous avons disposé de plus de temps et de données chiffrées, pour formuler des propositions les plus pertinentes possibles.
Nous ne nous plaçons pas dans une situation de surenchère. Nous sommes là pour juger du bon niveau d'investissement, suffisamment attractif, incitatif et répondre aux objectifs communs de soutien à l'investissement. Je vous remercie pour votre proposition.