Nous sommes le 14 mai. Hier, c'était le cinquante-et-unième anniversaire d'un coup d'État. Eh oui !
Et dans des circonstances aussi gravissimes, que le temps de parole soit de trente minute ou d'une heure, c'est tout aussi grotesque quand il y va de la préservation de la démocratie – notre histoire l'a démontré. Je ne suis pas plus enthousiasmé par une heure que par trente minutes.
Monsieur Karoutchi, vous me regardez avec des yeux éberlués…