Monsieur le secrétaire d'État, que je sache, votre formation a changé trois fois de nom : d'abord ce fut l'UDR, puis le RPR et maintenant l'UMP. On peut changer, même lorsque l'on prétend défendre la même politique !
Je n'appartiens pas au parti socialiste et mon groupe n'a pas fait de proposition de loi visant à créer des circonscriptions pour les Français de l'étranger.
Comme le disait à l'instant François Hollande avec son humour habituel, que se passerait-il si un député de l'étranger parlait en langue régionale ? Je vois déjà certains d'entre vous protester violemment contre l'utilisation de cette langue, qui, paraît-il, est incompatible avec la Constitution.
En fait, vous nous proposez un mauvais coup, une bidouille...