La commission a longuement débattu sur ce point, et vous savez, monsieur Pélissard, que je suis toujours très attentif à vos suggestions. Dans plus de 90 % des cas, on ira chercher le maire. Mais pourquoi s'imposer de choisir le maire, alors que le président de l'intercommunalité, un adjoint aux affaires sociales qui se passionne pour ces problèmes, ou une personnalité qualifiée reconnue de tous, peuvent aussi convenir ?
Laissons un peu de liberté – étant entendu que le maire sera choisi la plupart du temps. Voilà pourquoi la commission a préféré la position du Gouvernement.
(Les amendements identiques nos 1015 et 1142 ne sont pas adoptés.)