Je serai très bref, monsieur le président. Cet amendement ne présente pas d'intérêt particulier dans la mesure où, globalement, ces dispositions reviennent à confier la garde des poules au renard. (Sourires.) Ce n'est certainement pas ainsi que l'on modérera l'appétit glouton de ceux qui, jusqu'à présent, ont passé leur temps à s'en mettre plein les poches. Vous n'avez prévu aucune mesure coercitive, et c'est là tout le problème.
(L'amendement n° 2 est adopté.)