Madame la ministre, que faut-il suivre comme formation pour être conseiller en génétique ? Vous dites que les conseillers en génétique exercent leur activité professionnelle auprès de médecins généticiens dont nous connaissons la complexité de l'activité professionnelle. Je ne parle pas tant de l'aspect recherche, mais de l'aspect relations avec le public, s'agissant, par exemple, des maladies génétiques, du diagnostic préimplantatoire, sujets assez difficiles et complexes. Quel est le profil professionnel de ces conseillers en génétique et quelle sera leur marge de coopération auprès des médecins généticiens ?