Monsieur le rapporteur général, nous connaissons votre grand sérieux sur tous les sujets à propos desquels vous intervenez, notamment dans le domaine que nous traitons aujourd'hui.
Je suis étonné. Vous commencez par des propos extrêmement sympathiques sur l'excellent argumentaire de Dominique Baert, en indiquant que vous êtes d'accord avec tout ce qui a été dit, que vous n'avez aucune opposition. Puis vous indiquez qu'il s'agit d'une loi minimaliste et qu'il n'est pas utile d'ajouter un adjectif, afin d'éviter que la loi ne soit trop bavarde.
Puisque M. le rapporteur général est d'accord, je pense que cela ne coûterait rien de franchir le pas.
Monsieur de Courson, j'ai bien compris votre opposition. Vous êtes hostile au principe même de l'inscription. Nous savons que M. Baert est un homme sage et pondéré.