J'ai écouté les arguments échangés. Ne pourrait-on pas, dans la ligne de ce qui a été dit tout à l'heure pour l'amendement de M. Martin-Lalande, essayer de réfléchir à nouveau et de redéfinir l'ensemble du dispositif ?
Il serait malheureux de laisser tomber certaines dispositions importantes pour la promotion de l'art vivant contemporain. Il est important de promouvoir nos artistes. J'ai noté avec plaisir que Gilles Carrez disait qu'il fallait surtout que cette mesure s'adresse aux artistes français.
Je pense qu'une réflexion plus approfondie avec la commission est nécessaire, afin que cet amendement soit redéposé lors de l'examen d'un prochain collectif.