Je trouve votre argument étonnant, monsieur le secrétaire d'État, puisque, à plusieurs reprises, lors des débats, vous avez employé le mot – mais peut-être votre langue a-t-elle fourché – d'agro-transformation. L'agro-transformation est beaucoup plus large ; elle inclut, par exemple, la cosmétologie, les huiles essentielles, tout ce qui pourrait apporter une valeur ajoutée forte pour notre territoire.