Monsieur le ministre, vous devriez prendre la précaution de mentionner le bouclier fiscal dans votre dispositif. À force de faire travailler les salariés – 3 055 heures par an ! –, ils vont bien finir par gagner beaucoup d'argent. Ils auront donc besoin de ce fameux bouclier, même s'il est en plastique, parce que votre collègue Éric Woerth serait tenté de leur reprendre ce qu'ils pourraient gagner.