Depuis que je suis à l'Assemblée nationale, la droite mène combat contre l'AFPA, car un service public de l'emploi lui est insupportable, et elle pense que les conditions sont aujourd'hui réunies pour atteindre son objectif.
La formation professionnelle est un marché de milliards d'euros ; comment voulez-vous que le privé n'essaye pas d'en décrocher une partie ? Je ne suis donc pas du tout étonné, si ce n'est de constater que des campagnes de presse sont à présent menées contre l'AFPA, qui aurait les pires défauts.
Je considère, quant à moi, que nous disposons d'un service public de l'emploi de qualité, offrant de bonnes formations. Je souhaite donc qu'il soit préservé et c'est pourquoi je soutiens l'amendement, sur lequel je demande un scrutin public.