Certes, nous avons mis en place en 2006 un mécanisme de compensation. Mais, deux ans plus tard, il s'avère insuffisant dans certains cas particuliers, notamment Poitiers ou Lannion, qui percevaient une somme importante de France Télécom. La forte diminution de la taxe professionnelle, jointe à celle de leur DGF, calculée sur la base de la taxe professionnelle perçue des années plus tôt, les place dans une situation difficile. J'appelle l'attention du ministre sur la nécessité de trouver une solution pour ces villes avant le collectif.
(L'amendement n° 333 n'est pas adopté.)