Sitôt qu'un salarié ose y constituer un syndicat, ses relations avec l'employeur se compliquent et son avenir devient pour le moins incertain. Notre amendement vise à intégrer les entreprises de moins de cinquante salariés. Leurs salariés ne sont souvent pas informés de leurs droits à la formation parce qu'il n'y souvent même pas de comité d'entreprise.
Si vous étiez prêt à accepter l'amendement suivant, monsieur le secrétaire d'État, faites d'une pierre deux coups en celui-là aussi !