L'amendement de M. Tian est sympathique, mais il méconnaît cette place centrale du dialogue dans les dispositifs d'intéressement et de participation.
Il est quelque peu paradoxal de voir M. Brard monter au créneau pour défendre le fait du prince, en l'occurrence du chef d'entreprise. Peut-être faut-il y voir un relent de centralisme démocratique ?