Avant de défendre mon amendement, je tiens à souligner la gravité de ce qui s'est passé tout à l'heure. Quand un Parlement consent à l'anéantissement de ses propres droits, notamment de son droit d'expression, c'est honteux et cela s'appelle un déni de démocratie. La dernière fois que cela s'est produit, c'était il y a soixante-neuf ans. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
L'histoire est toujours utile et « celui qui ignore le passé est condamné à le revivre », ne vous en déplaise !