Nous savons bien que le déficit de la sécurité sociale va poser très vite un problème.
Par ailleurs, je rappelle que le plafond de 50 %, que j'approuve, devait être accompagné d'un plancher. Parce que, du fait de l'ISF, nous avons trouvé des contournements multiples, en évitant de regarder en face la vérité sur les patrimoines.
Il serait plus juste – et je reprends d'une certaine façon les orientations de Jean Arthuis et de Gilles Carrez – de regarder la réalité en face, de dire que nous sommes le dernier pays à conserver un impôt sur la fortune,…