Ma question, de fait, est triple.
Monsieur le Premier ministre, allez-vous, en tant qu'actionnaire, demander le retrait pur et simple du plan social diligenté à RFI dans les pires conditions par M. de Pouzilhac et Mme Ockrent ?
Allez-vous, comme actionnaire, agir pour maintenir les conventions collectives qui contribuent, par les garanties sociales qu'elles apportent, à l'indépendance de l'audiovisuel public et au pluralisme de l'information ?
Enfin, allez-vous tout simplement sauver RFI, devenue le parent pauvre de l'audiovisuel extérieur de la France…