Je conclus, monsieur le président.
Interpellé sur cette nomination des présidents de France Télévisions et de Radio France – dont il avait la charge et la responsabilité jusqu'à aujourd'hui –, M. Boyon aurait pu réagir. Soucieux qu'il est de son indépendance, il aurait pu dire : « Le pluralisme et la diversité sont menacés, puisque ce n'est plus le CSA, que je préside, qui procédera à cette nomination. »