Il est donc bon d'avoir, comme la France, un investisseur de long terme. Je ne prétends pas que ce soit pour cela que nous nous portons mieux que d'autres, mais cette structure permet d'atténuer les crises. On voit bien ce qui se passe dans les économies ultralibérales, comme en Grande-Bretagne : si la crise y est aussi violente, c'est parce que tout – absolument tout – y a été privatisé.