J'y suis très favorable parce que je suis conscient que les commissions saisies au fond n'ont pas assez le réflexe de la matière européenne.
Donc la commission des affaires européennes pourra soit se saisir d'elle-même, soit être saisie par une commission au fond. Et, dès qu'elle le demandera, elle sera entendue par cette même commission. En outre, et M. le président est bien placé pour le savoir puisqu'il la préside, la conférence des présidents pourra décider de la faire entendre, y compris dans l'hémicycle. Ce sont de grands pas qui répondent à une forte attente et qui nous permettront de mieux travailler tous ensemble.
(L'amendement n° 26 n'est pas adopté.)
(L'amendement n° 28 rectifié n'est pas adopté.)