Je retire « pied du mur », mais nous allons mettre M. Warsmann devant ses contradictions. Tout à l'heure, je l'ai interpellé en disant que, finalement, sa « cohérence », c'était le carcan. S'il veut faire la démonstration que la cohérence, ce n'est pas le carcan, il doit accepter cet amendement, très clair, très simple, qui propose de substituer, dans l'alinéa 4, au mot : « est », les mots : « peut être ». Ainsi, nous laissons au président de séance une liberté d'interprétation et la possibilité de laisser le débat se poursuivre.
Sinon, je vois très bien comment les choses vont se passer : quatre orateurs se seront déjà exprimés ; un député demandera la parole ; le président, se laissant fléchir, l'accordera ; et le président du groupe majoritaire fera un rappel au règlement pour signifier au président de séance que le règlement ne le lui permet pas.
Monsieur le rapporteur, si vous voulez vraiment que cette idée de carcan sorte de notre esprit,…