Je vous remercie, monsieur le rapporteur général.
J'ai lu dans la presse, monsieur le ministre, que vous vous étiez rendu à Mont-de-Marsan pour écouter. Vous savez parfaitement que je vous transmets ici le point de vue des sylviculteurs et des organisations professionnelles, au sein desquelles je n'ai, en général, pas une influence déterminante. Comprenons-nous bien, messieurs les parlementaires de la majorité : cela n'entre pas en ligne de compte parce que l'importance économique est là.
Monsieur le ministre, si la commission des finances a voté cet amendement à l'unanimité, peut-être pourriez-vous au moins vous en remettre à la sagesse de l'Assemblée !