Nous avons déjà examiné un amendement de même nature. M. Forissier a rappelé que nous avons fait évoluer la situation avec succès, comme le montrent toutes les discussions que j'ai, au cours de mes déplacements, avec les chefs d'entreprises ou les représentants des chambres consulaires. L'absence de publicité relative à l'inscription du privilège, quand une entreprise qui connaît des difficultés accepte un plan de redressement, produit réellement des résultats positifs.
Au reste, je rappelle que l'État n'est pas le créancier le plus privilégié.