Enfin, je le répète et ce sera dit pour la troisième fois puisque Didier Migaud l'a relevé : le Gouvernement considère que cette attribution de stocks-options n'est pas opportune. Je l'indique sans m'être concerté avec Christine Lagarde, qui se trouve à Bruxelles. Mes propos sont tout de même assez clairs.
Vous me parlez de loi. Il n'y a pas de loi, mais un code.