J'ajoute que si nous ne pouvons plus exercer de responsabilités locales, nous serons contraints de trouver d'autres moyens de conserver un lien avec les élus locaux et nos concitoyens, que nous servons, afin de bien connaître les réalités et de rester informés. Et cela nous obligera à être davantage présents sur le terrain que nous ne le sommes aujourd'hui.
Le choix est donc beaucoup plus complexe que vous voulez bien le laisser paraître. Nous n'avons pas à verser dans le populisme ambiant. Nous ne servirions pas le Parlement à aller trop vite, emportés par une vague qui risquerait de nous éloigner considérablement de la mission qui est la nôtre.