Philippe Martin s'est interrogé sur ce qui se passerait s'il devait être le mardi soir dans sa circonscription et qu'il n'arrivait qu'à onze heures le mercredi en commission pour siéger jusqu'à douze heures trente alors que la réunion a commencé à neuf heures trente. Cette présence sera prise en compte comme aujourd'hui. Aujourd'hui, les agents de l'Assemblée notent, et cela n'a jamais soulevé de polémique, tous les noms des députés qui viennent participer aux travaux. Nous ne changeons rien. Nous prévoyons seulement un garde-fou qui permet de ne viser que les députés qui, dans les faits, ne viennent pas.