Vous regrettiez ce matin, madame la ministre, que nous n'ayons pas évoqué les crustacés dans nos amendements relatifs aux publicités sur les génériques. Mon collègue Rogemont ayant eu l'élégance de réparer cet oubli comme vous le souhaitiez, auriez-vous l'obligeance de répondre à la question, maintes fois posée, de savoir pourquoi la suppression de la publicité commence par la tranche de vingt heures à six heures du matin, plutôt que par celle de six à vingt heures, ce qui, du point de vue financier, n'est pas sans importance, le manque à gagner n'étant pas le même dans les deux cas ?
Par ailleurs, il ne m'a pas été possible, monsieur le président, de m'exprimer sur l'article 19, puisque vous aviez limité à deux le nombre d'interventions sur l'article.