J'ajoute que nous ne sommes pas allés au bout des possibilités qui nous étaient offertes, puisque nous avons décidé de passer à neuf minutes de publicité, alors que nous aurions pu aller jusqu'à douze minutes.
Enfin, les programmateurs ne sont pas fous : ils ne vont pas submerger les téléspectateurs de publicité, au risque de les faire fuir. Ils feront donc un choix raisonnable et diffuseront, je l'espère, encore plus de films, augmentant ainsi les recettes du cinéma et des chaînes privées. Or, je rappelle que les ressources destinées à la création sont assises sur les chiffres d'affaires.