À l'issue de ce bon et grand débat – dans les commissions depuis plusieurs semaines, et au sein du groupe UMP, grâce à notre président Jean-François Copé – je crois que nous avons tous maintenant compris les enjeux de cette affaire.
Je n'ai qu'un seul regret : certains orateurs – dans la tradition du débat sur l'OTAN, depuis ses débuts – ont choisi de s'inscrire dans la gestuelle, le symbolisme, voire dans l'invective et le procès d'intentions, plutôt que dans la raison et dans les faits. (Protestations sur les bancs des groupes SRC et GDR. – Applaudissements sur divers bancs du groupe UMP.)
S'il est ainsi légitime, comme l'a fait tout à l'heure François Baroin, avec beaucoup d'honnêteté,…