Donc, mécaniquement – je ne soutiens pas que c'est l'intention des dirigeants de France Télévisions, impuissants face à ce phénomène –, une pression va s'exercer sur cette tranche horaire et se mettent en place tous les éléments qui vont conduire à la mise en cause du journal national de France 3 de 19 h 30, tranche horaire particulièrement menacée.
C'est pourquoi cet amendement, certes déclaratif à certains égards, a son importance car il rappelle la nécessité de s'accrocher au décrochage, si j'ose dire.