Je maintiens cet amendement. Vous le savez, je suis à l'origine de ce permis d'exploitation, que nous avons « monté », il y a des années, avec les organisations professionnelles. Ne soyons pas dupes : chacun le sait, la formation, c'est un marché. L'idée qui sous-tendait ce permis d'exploitation, c'était que ce marché devait être assuré par les professionnels. Je crains que, s'il est ouvert aux chambres d'hôtes – dont je ne mets pas en doute les qualités et la nécessité –, on en vienne, demain, à faire de même pour l'hôtellerie de plein air. Ce serait ouvrir une brèche dans laquelle s'engouffreront petit à petit diverses catégories.