Monsieur le secrétaire d'État, en cas de changement de gestionnaire, la valeur initiale des loyers est parfois réduite de près de 70 % et l'on assiste à des opérations de vente aux enchères de meubles qui sont absolument ubuesques.
Le mandataire de justice impose de vendre les meubles les uns après les autres, en une sorte de vente à la découpe qui nuit à la rapidité de la reprise par un autre gestionnaire, donc à l'assurance pour les investisseurs de disposer à nouveau de loyers. Je persiste donc à penser que notre amendement était fondé et qu'il importait de dépasser certains blocages de la loi pour admettre la location en meublé.