Et pour mieux illustrer cette sorte d'inflation d'amendements à laquelle on assisterait dans notre Parlement, notre collègue Chartier est allé chercher des exemples jusque dans les années 70 !
S'il y a beaucoup d'amendements, c'est la preuve, d'abord, que les députés travaillent. C'est la preuve, ensuite, qu'ils veulent un débat.