J'irai dans le même sens que M. Daubresse. Les amendements nos 86 rectifié et 83 de M. le rapporteur, qui n'en conserve pas moins toute mon estime, sont tous les deux en retrait par rapport au débat que nous avons et même par rapport au projet de loi. Je serai bref car M. Daubresse a dit l'essentiel, mais que le Parlement soit informé de l'emploi des ressources au moment où elles se décident, et non a posteriori par un rapport d'utilisation, et qu'il faille tenir compte des propositions formulées par les partenaires sociaux, même si c'est le Gouvernement qui a le dernier mot dans cette nouvelle gouvernance, me semble être le minimum, surtout dans un contexte où le Président de la République nous a dit qu'il écoutait mais qu'il ne tenait pas compte !