À l'évidence, ces aliments sont déséquilibrés et, partant, pourvoyeurs d'obésité. Nous proposons donc de les taxer au taux normal de TVA de 19,6 % plutôt qu'au taux réduit de 5,5 %. Cela reviendrait en quelque sorte à reproduire la démarche que nous avons adoptée avec succès pour le tabac, puisqu'elle a permis de réduire la consommation.