L'amendement n° 1330 vise à mettre en oeuvre une taxe sur les flux de transports de produits alimentaires, particulièrement pour les denrées périssables, afin d'inciter à une relocalisation des productions alimentaires pour intensifier la réduction des émissions de gaz à effet de serre tout en dynamisantr les territoires agricoles.
L'amendement n° 1331 vise à réaffirmer le besoin d'aider à l'installation ou à la reconversion dans l'agriculture biologique.
L'amendement n° 1348 tend à mettre en place un étiquetage qui permette au consommateur d'avoir connaissance des distances parcourues par les produits alimentaires entre le lieu de leur production et leur lieu de vente. Ces distances sont en effet considérables – 1 500 kilomètres en moyenne –, ce qui porte atteinte à la qualité de l'atmosphère du fait des émissions de gaz à effet de serre, ainsi qu'au développement régional.
Enfin, l'amendement n° 1349 propose de réorienter les programmes de recherche non seulement en matière de microbiologie des sols, mais aussi dans le domaine des relations entre pratiques agronomiques et biodiversité, ainsi que dans celui de la toxicologie.