Je veux poser une question à M. le ministre. On a évoqué, au sujet des substances phytopharmaceutiques, la situation de la France et de l'Union européenne. Mais qu'en est-il des territoires ultramarins ? Le droit y est-il appliqué de la même manière qu'en métropole ? On a parfois l'impression que certains produits interdits en France métropolitaine peuvent continuer à être utilisés outre-mer – je pense notamment au récent scandale du chlordécone. Y a-t-il, oui ou non, égalité de traitement sur ce point ?