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Interventions en hémicycle de Hervé Féron


182 interventions trouvées.

Dans ce contexte inquiétant, je ne veux pas utiliser une actualité douloureuse, mais je demande de la décence. Au nom de la dignité qu'elle implique, j'espère que notre amendement sera voté à l'unanimité. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) En résumé, on nous propose un projet de loi malheureux, vide de sens, alors qu'une grande réfo...

Alors qu'Hillary Clinton parle de la diplomatie dite de l'intelligence en investissant dans l'action extérieure, je vous laisse deviner comment sera qualifiée notre future politique extérieure si ce texte n'évolue pas ? (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

Si vous vous êtes engagé à le faire, monsieur le ministre, pourquoi ne pas l'inscrire dans la loi ? Les ministres changent, les points de vue aussi. Il serait utile d'écrire cela dans la loi.

Nous proposons de donner pour intitulé au chapitre III « L'Institut français Victor-Hugo ». Il s'agit de donner plus de visibilité à notre action culturelle extérieure. En effet, si l'adjectif « français » figure dans la dénomination d'un grand nombre d'organismes de toutes sortes, quelle peut être la visibilité d'un organisme simplement dénomm...

Le nom de Victor Hugo permettra d'identifier cette action culturelle extérieure. Ainsi que je l'ai dit dans la discussion générale, il me semble important de regarder ce qui se fait également à l'étranger. Un certain nombre de pays ont opté pour des dénominations reprenant le nom d'un grand homme qui représente les valeurs du pays. Grâce à cel...

Messieurs les rapporteurs, monsieur le ministre, vous avez votre avis, nous avons le nôtre, et vous êtes majoritaires, dont acte ; mais, de grâce, monsieur le rapporteur, lorsque vous citez tous ces noms, ne parlez pas de « noms de baptême » ! (L'amendement n° 4 n'est pas adopté.)

Je reviendrai d'abord à ce que vous avez dit tout à l'heure, monsieur le ministre. Je crois que vous vous trompez ou que vous avez mal entendu mes propos. À aucun moment, bien sûr, je n'ai voulu insinuer que vous n'aviez pas fait tout ce que vous pouviez pour avancer le plus rapidement possible, s'agissant de la situation des deux journalistes....

Je vous engage à lire mes propos dans le compte rendu. Vous étiez nombreux à vociférer, mais relisez mon intervention et vous constaterez que je n'ai rien dit de tel. Par contre, s'il suffit d'être en désaccord avec vous et de faire référence à l'actualité pour être jugé comme étant excessif, c'est regrettable ! Je suis d'accord avec M. Lecou ...

J'ai l'impression que, si vous n'avez de cesse, monsieur le ministre, d'affirmer, comme si c'était un alibi, que vous êtes bienveillant, dans les faits, vous n'êtes que surveillant.